Etre cocu n’est pas si extraordinaire dans le fond. Tout homme est susceptible de l’être au moins une fois dans sa vie. Certains le sont davantage. Parfois ils le savent, souvent non.

Mon cas est en ce sens particulier car si je suis cocu, entre autre, c’est par une femme.

Les cocus qui sont aussi souvent des soumis, ils voient leur femme ou leur compagne entre les bras d’hommes souvent beaucoup plus virils qu’eux ! Moi, c’est par mon manque de virilité que j’ai en partie droit à être cocu et soumis. Mais être soumis à deux femmes va, pour moi, au –delà de la simple soumission car j’ai atteint le stade d’esclave.

Prenons les choses par le début. Je me prénomme Paul. J’ai 45 ans depuis peu. Je suis, non, j’étais marié à une Femme extraordinaire depuis 25 ans. Eliane a 49 ans. Tous deux, nous avons découvert l’amour et le sexe ensemble. Pendant les 2 premières années, nous avons vécu heureux, à l’image d’un couple banal. Hormis le fait que je n’ai jamais pu lui donner d’e n f a n t , nous avons fait carrière, comme on dit, et nous avions une vie confortable.

Le plaisir sexuel s’est peu à peu émoussé. Je ne suis pas très puissant ni viril. J’ai cru pendant longtemps qu’il suffisait de pénétrer mon Epouse et d’éjaculer en Elle pour qu’Elle aussi, y trouve son plaisir. Aussi, ces 10 dernières années, le sexe s’est fait rare. Je me rattrapais en me masturbant tout en surfant sur le net. J’avais conclu, bien hâtivement, que mon Epouse n’aimait pas çà !

Il y a 5 ans environ, j’ai progressé dans mon travail en devenant chef de projet. Cela augmentait, en même temps, ma charge de travail et ma feuille de paie. J’ai des collaborateurs qui me téléphonent souvent chez moi, et, pas toujours à des heures très « chrétiennes ». Mon Epouse en prit ombrage. D’abord, j’imaginais que c’était pas simple jalousie professionnelle : sa carrière étant restée en deçà de la mienne bien qu’Elle soit plus qualifiée et plus intelligente que moi. Elle fouillait mes vêtements, mes papiers. Je trouvais très souvent mon bureau retourné. Elle ne se cachait pas pour m’espionner. Quand le téléphone sonnait à la maison, je l’entendais prendre le deuxième combiné pour écouter en silence.

Sa situation m’agaçait et un soir, je mis les pieds dans le plat. Eliane me dit très naturellement qu’elle pensait que je la trompais puisque je ne lui faisais plus jamais l’amour. N’ayant jamais aimé une autre femme et ne l’ayant jamais trompée, je fus, à la fois choqué et ravi. Mon Epouse voulait que je lui fasse l’amour. Mon côté macho retrouvait une relative virilité. Mais Eliane, en Femme intelligente, poursuivait un but bien éloigné du mien. Il était préparé avec habilité et dûment conseillé par Celle qui me faisait déjà cocu.

Malgré cela, nous ne faisons pas davantage l’amour car, disait-Elle, tant qu’Elle ne serait pas certaine de ma loyauté, Elle se refuserait à moi. Je ne voyais pas d’issue car aucune de mes marques d’affections ou de mes suppliques pour lui prouver que j’étais fidèle et aimant, ne suffisaient.

Par dépit et frustrations, je lui demandais un jour comment je pourrais lui prouver une bonne fois pour toute ma sincérité. Ce fut le premier coup au but. Surpris mais prêt à tout pour reconquérir le droit de « monter » ma Belle, j’acceptais sans condition et d’avance ce qu’Elle me proposerait. Quand Elle me sortit la cage de chasteté CB 2000 de sa boîte, j’aurais dû me rendre compte que tout cela était prémédité. Mais l’amour rend aveugle et sourd !

Le contrat était simple : je portais cette cage en permanence et après une période de « purification », comme Elle l’appela, Elle me libèrerait pour lui faire l’amour.

Naïf, je me disais qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour avoir envie et que je pouvais bien sacrifier quelques masturbations. Mais les jours passaient et rien ne venait. Les clés semblaient avoir disparues. Je découvris que je pouvais dégager mon pénis de la cage pour au moins me masturber. Une chose était certaine, pas question de la tromper car j’allais travailler avec et j’imaginais la tête de mes collaboratrices si elles avaient découvert l’existence de la cage. J’avais toujours peur que la cage soit vue ou devinée.

Eliane semblait avoir prévu le cas, car, très vite, un anneau supplémentaire vint se fixer dans la cage pour emprisonner le pénis. Cet anneau qu’Elle nommait le KSD me provoquait des douleurs importantes dès que j’essayais de bander et impossible de retirer désormais le pénis de sa prison. J’étais piégé. Je n’avais plus qu’à être le plus docile possible. Plusieurs fois, je lui demandais de me libérer mais Elle répondait toujours que la purification n’était pas complète puisque je demandais.

Pendant un mois, très long, je restais enfermé. Quand vint le jour où Elle ouvrit le cadenas, je bandais instantanément. Je n’avais jamais eu une aussi belle érection. Fier de mon état, je me fis câlin, tendre et amoureux. J’allongeais ma Belle sur le lit ; je n’eus pas le temps de la pénétrer que j’éjaculais lamentablement sur son pubis. Eliane me gifla, pour la première fois de notre vie commune et me remit immédiatement en cage. Elle me traita d’éjaculateur précoce et d’incapable. Elle me condamna sans appel à un autre mois de chasteté.

Ce fut le début de la descente aux enfers.

Durant ce très long mois, ma prostate se vida naturellement toute seule plusieurs fois sous la douche et aussi, la nuit, dans le lit. Cela me condamna à faire lit à part. Un matelas muni d’une alaise plastique fut installé par mes soins au pied de notre lit.

Lorsque qu’Eliane me libéra. Mon pénis bandait toujours autant que la première fois. Pour éviter que ne se reproduise la même mésaventure, ma Femme me proposa de me masturber avant. Cette masturbation fut un véritable bonheur. Difficile toutefois de se masturber à genoux devant Elle. Eliane tenait à assister à toute la scène et Elle ne se priva pas de faire des commentaires. Un gros paquet de sperme jaillit. Je ne me croyais pas capable d’une telle production. Eliane me fit d’ailleurs la remarque amère qu’Elle aurait dû faire comme cela depuis le début, nous aurions eu une chance d’avoir des e n f a n t s. L’attaque étant basse et blessante, je débandais et j’eus toutes les peines du monde à bander de nouveau.

Nous fîmes l’amour cependant. Eliane avait décidé d’être dessus. Quand elle sentit que j’allais de nouveau jouir, Elle se retira et me laissa frustré. Elle voulait bien faire l’amour avec moi mais Elle ne voulait pas que j’éjacule en Elle. Très exactement, Elle ne voulait plus ! Elle attendit un moment et prit les « choses » en main. Une fois le pénis bandé, Elle me reprit en Elle et m’ordonna de rester parfaitement immobile. Ne pouvant plus rien faire, j’assistais à la première jouissance de mon Epouse depuis notre mariage. Je réalisais alors combien sa frustration avait dû être grande. Elle me remit en cage après cela sans me permettre de me soulager.

La cage de chasteté étant une affaire entendue et acceptée, elle devint une partie de moi-même au point que j’avais hâte de la sentir à nouveau quand Elle me la retirait pour faire une toilette approfondie sous sa surveillance. Durant cette étrange période de ma vie, je ne prenais pas vraiment conscience que je me soumettais chaque jour davantage à son Pouvoir et à son Autorité.

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